Thibault Marino, le « Globe Fighter », fondateur du MMA Camp Brazil

 
 

Découvre l'histoire d’un passionné d’arts martiaux, de voyages, de développement personnel et d’entrepreneuriat qui a tout quitté pour partir faire le tour du monde, apprendre auprès des meilleurs, et vivre une aventure humaine unique.

 
 

Comment tout a commencé ?

 

Thibault Marino, le « Globe Fighter », fondateur du MMA Camp Brazil

Découvre l'histoire d’un passionné d’arts martiaux, de voyages, de développement personnel et d’entrepreneuriat qui a tout quitté pour partir faire le tour du monde, apprendre auprès des meilleurs, et vivre une aventure humaine unique.

 

Comment tout a commencé ?


 

Mon aventure à l’étranger

 
 

9 vidéos pour 9 pays

 

Mon aventure à l’étranger

9 vidéos pour 9 pays

Un jeune de banlieue passionné d’Arts Martiaux et de voyages

 
L'enfance
J'ai grandi en région parisienne. Enfant, j’étais passionné par les arts martiaux, mon père pratiquait le karaté et j’adorais les films de Bruce Lee.

J'ai toujours eu un état d’esprit de compétiteur : j’ai pratiqué le judo et l’escrime.

À 10 ans, j’ai commencé le skateboard. J’ai pratiqué à un bon niveau et participé à plusieurs championnats nationaux. Grâce à cette discipline, j’ai commencé à voyager, à rencontrer des personnes d’horizons différents et à m’ouvrir l’esprit.
L'adolescence
À 16 ans, j’ai commencé le karaté. J’ai fait quelques compétitions, mais le karaté en combat était trop limité ; je recherchais un sport avec plus de contact.

C’est à cette époque que j’ai découvert les vidéos du Pride et de l’UFC. Je voulais pratiquer un sport comme ça.
L'entrepreneuriat
En parallèle, j’ai commencé à entreprendre très jeune.

À 19 ans, j’ai ouvert ma première entreprise, une agence spécialisée dans la fabrication de vêtements. Cette activité me demandait beaucoup de temps et d’énergie ; malgré cela, je m’organisais pour avoir le temps de m’entraîner quotidiennement.
Le Pancrace
En 2010, je suis parti seul en Thaïlande pour faire un camp d’entraînement de Muay Thai. À mon retour, un ami du karaté m’a invité dans un club de combat mixte où il y avait du pancrace et du Jiu-jitsu brésilien.

J’ai tout de suite accroché avec le pancrace et j’ai commencé à m’entraîner tous les jours avec l’objectif de combattre malgré une mauvaise hygiène de vie et de nombreux excès.

Pendant plusieurs années, je m’entraînais dur, j’ai participé à plusieurs championnats et fait une dizaine de combats amateurs en pancrace.
Le Muay Thai
En 2013, j’ai commencé le Muay Thai avec deux partenaires d’entraînement.

Le coach du club nous a proposé de nous préparer pour participer aux championnats de France.

Après plusieurs mois d’entraînement et la participation au championnat, nous avons quitté le club, car l’ambiance y était très malsaine.

On a continué à s’entraîner dans différents clubs pour progresser dans chaque discipline séparément en espérant une opportunité de combat.
L'injustice
Dans tous les clubs où nous allions, les coachs me donnaient peu d’attention car j’étais moins talentueux que les autres. Dans beaucoup de clubs de sports de combat, le manque de moyens et/ou de compétences des coachs peut briser le rêve de jeunes comme moi à l’époque.

Je percevais déjà cette injustice, mais j’ai continué à m’entraîner et, en parallèle de mon travail, je me suis formé comme coach. J’ai obtenu ma carte professionnelle et la permission de donner des entraînements de kickboxing avec une spécialité en pancrace.
Le burn-out et le déclic
En 2016, j’ai fait un burn-out. J’ai décidé de reprendre en main mon hygiène de vie et tout plaquer pour partir voyager : tout mettre en œuvre pour vivre mon rêve et devenir un combattant de MMA.

J’avais 27 ans. J’ai quitté mon travail, mon appartement, réuni toutes mes économies et je suis parti faire mon tour du monde des arts martiaux : le Globe Fighter est né !
 

 

Un jeune de banlieue passionné d’Arts Martiaux et de voyages

L'enfance
J'ai grandi en région parisienne. Enfant, j’étais passionné par les arts martiaux, mon père pratiquait le karaté et j’adorais les films de Bruce Lee.

J'ai toujours eu un état d’esprit de compétiteur : j’ai pratiqué le judo et l’escrime.

À 10 ans, j’ai commencé le skateboard. J’ai pratiqué à un bon niveau et participé à plusieurs championnats nationaux. Grâce à cette discipline, j’ai commencé à voyager, à rencontrer des personnes d’horizons différents et à m’ouvrir l’esprit.
L'adolescence
À 16 ans, j’ai commencé le karaté. J’ai fait quelques compétitions, mais le karaté en combat était trop limité ; je recherchais un sport avec plus de contact.

C’est à cette époque que j’ai découvert les vidéos du Pride et de l’UFC. Je voulais pratiquer un sport comme ça.
L'entrepreneuriat
En parallèle, j’ai commencé à entreprendre très jeune.

À 19 ans, j’ai ouvert ma première entreprise, une agence spécialisée dans la fabrication de vêtements. Cette activité me demandait beaucoup de temps et d’énergie ; malgré cela, je m’organisais pour avoir le temps de m’entraîner quotidiennement.
Le Pancrace
En 2010, je suis parti seul en Thaïlande pour faire un camp d’entraînement de Muay Thai. À mon retour, un ami du karaté m’a invité dans un club de combat mixte où il y avait du pancrace et du Jiu-jitsu brésilien.

J’ai tout de suite accroché avec le pancrace et j’ai commencé à m’entraîner tous les jours avec l’objectif de combattre malgré une mauvaise hygiène de vie et de nombreux excès.

Pendant plusieurs années, je m’entraînais dur, j’ai participé à plusieurs championnats et fait une dizaine de combats amateurs en pancrace.
Le Muay Thai
En 2013, j’ai commencé le Muay Thai avec deux partenaires d’entraînement.

Le coach du club nous a proposé de nous préparer pour participer aux championnats de France.

Après plusieurs mois d’entraînement et la participation au championnat, nous avons quitté le club, car l’ambiance y était très malsaine.

On a continué à s’entraîner dans différents clubs pour progresser dans chaque discipline séparément en espérant une opportunité de combat.
L'injustice
Dans tous les clubs où nous allions, les coachs me donnaient peu d’attention car j’étais moins talentueux que les autres. Dans beaucoup de clubs de sports de combat, le manque de moyens et/ou de compétences des coachs peut briser le rêve de jeunes comme moi à l’époque.

Je percevais déjà cette injustice, mais j’ai continué à m’entraîner et, en parallèle de mon travail, je me suis formé comme coach. J’ai obtenu ma carte professionnelle et la permission de donner des entraînements de kickboxing avec une spécialité en pancrace.
Le burn-out et le déclic
En 2016, j’ai fait un burn-out. J’ai décidé de reprendre en main mon hygiène de vie et tout plaquer pour partir voyager : tout mettre en œuvre pour vivre mon rêve et devenir un combattant de MMA.

J’avais 27 ans. J’ai quitté mon travail, mon appartement, réuni toutes mes économies et je suis parti faire mon tour du monde des arts martiaux : le Globe Fighter est né !

Le MMA Camp Brazil

Près d’un an après la fin de ce voyage, j’arrive enfin à réaliser mon rêve de combattre en MMA au Brésil. Je décide de m’installer au Brésil et avec les nombreux retours positifs du documentaire et l’intérêt grandissant autour des Arts Martiaux Mixtes en France, j’ai eu l’idée d’offrir aux personnes qui le souhaitent de vivre à leur tour l’expérience Globe Fighter au Brésil.

Je fonde alors le MMA Camp Brazil.

Les académies de MMA peuvent être des endroits hostiles et pas forcément adaptés pour des débutants ou pratiquants intermédiaires. Si on est étranger et qu’on vient pour s’entraîner selon l’endroit où vous allez, vous ne serez pas forcément les bienvenus (je sais de quoi je parle).

Au MMA Camp Brazil, je propose des stages de MMA et Jiu-Jitsu Brésilien pour tous les niveaux.